Confapi Brescia: “Crise de la mer Rouge, ne pas relâcher l’attention sur les escales”

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    Brescia. La crise de Suez n’est pas encore terminée et la Méditerranée et ses ports sont confrontés à un problème apparemment contre-intuitif qui risque de les mettre sous tension. Si dans la première phase de la crise liée au blocage du trafic dû aux raids des rebelles houthis du Yémen, le problème était de voir le trafic de marchandises déserté, aujourd’hui un autre problème se pose, à savoir celui des longs délais de stockage des marchandises qui affectent plusieurs ports d’escale.
    Algésiras, Barcelone et Tanger ont été les premiers concernés. Mais bientôt, le problème pourrait devenir italien.
    Le changement de dynamique commerciale induit par la crise de Suez a produit un effet clé”, note Andrea Muratore, analyste chez Confapi Brescia : “Le choix de la route du Cap de Bonne Espérance par de nombreuses entreprises a déplacé le trafic intermédiaire de conteneurs vers les ports d’escale.
    Le choix de la route du Cap de Bonne Espérance par de nombreuses entreprises a déplacé le trafic de conteneurs intermédiaires entre les ports méditerranéens au cours des derniers mois, ce qui a eu pour conséquence d’augmenter les délais et les files d’attente dans le secteur du transport”.

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